Les artistes sont d’excellents journalistes, des ambassadeurs du peuple. Ils ont fait table rase des préjugés et des complexes, et ils privilégient les actes, sans langue de bois. Être artiste à plein temps en RDC, c’est pourtant défier la précarité et avancer sans garde-fou.
La découverte des grandes tourbières congolaises est récente, reste à en mesurer l’importance. Elles s’étendraient sur plus de 145.000 kilomètres carrés, soit un puits de carbone gigantisme. Un des poumons de la planète… mais aussi potentiellement une bombe à retardement ! La préserver est impératif. Protéger la forêt congolaise devient plus impérieux que jamais.
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Beauté Congo a l’ambition de paraître deux fois par an et de devenir une espèce de bulletin de liaison entre Bruxelles et Kinshasa, entre la Belgique et le Congo.
Spécialiste du développement rural, Alain Huart va cerner « les grands enjeux du Congo » lors du dîner-conférence de « Soir mag ». Hier, aujourd’hui, demain…
Le nouveau mook (création hybride entre livre et magazine) joliment nommé Beauté Congo est le fruit d’une longue collaboration entre Olivier Weyrich et Alain Huart.
Beauté Congo a pour ambition de présenter aux lecteurs une image du Congo plus conforme à la réalité. Si ce mook est destiné au plus large public possible, s’il est conçu et rédigé de manière à informer, à exciter la curiosité et, pourquoi pas, à divertir, il n’en est pas moins intellectuellement et professionnellement exigeant.